Cours de Philosophie Generale (6) (English, French, Paperback)

Ce livre historique peut avoir de nombreuses fautes de frappe, le texte manquant, des images ou des index. Les acheteurs peuvent telecharger une copie gratuite scannee du livre original (sans fautes de frappe) de l'editeur. 1824. Non illustre. Extrait: ... de nos yeux etait occupe lorsque nous regardons attentivement, l'instinct nous ferait prendre l'habitude de fermer l' il inactif; cependant nous eprouvons que si, ' lorsque nous regardons attentivement un objet, nous fermons un de nos yeux, meme le plus faible, l'objet est moins clair pour nous.; .:, Si nous fermons un de nos yeux, lorsque nous voulons viser un objet, ce n'est pas pour le voir plus clairement, c'est pour que notre rayon visuel, compose alors d'une ligne unique, nous expose moins a nous tromper sur la position reelle de l'objet. Au reste, dans l'usage habituel de nos organes, la conscience des objets que nous ayons regardes, et des sons que nous ayons entendus, est, en nous, une et simple, quoique nous ayons deux yeux et deux oreilles., Rien ne prouve mieux l'union chimique des fluides dont se composent nos idees. Il est remarquable que, dans la plus profonde obscurite, nous voyons des flammes et des lur mieres, si le sang afflue avec abondance vers notre nerf optique; et que, de meme, dans le plus profond repos des corps exterieure, nous entendons des tintemens, des bourdonnemens, lorsque le sang afflue vers notre nerf acoustique. Le sang ne peut affluer arec surabondance vers ttn de nos organes que par vivacite d'Expansion; et cette meme vivacite expansive, qui le transporte, le resout en ses principes; mais puisque c'est alors notre propre sang attenue, notre fluide nerveux, que nous voyons, ou que nous entendons, il est evident que la lumiere, objet ordinaire de notre sensation de la vue, et que le son, objet ordinaire de notre sensation de l'ouie, sont de la meme nature q.