Ce livre historique peut contenir de nombreuses coquilles et du texte manquant. Les acheteurs peuvent generalement telecharger une copie gratuite scannee du livre original (sans les coquilles) aupres de l'editeur. Non reference. Non illustre. 1878 edition. Extrait: ...page 46. 3. Liv. XLV, 18. 4. De prov. cons. 12, 31. Nulla gens est, qu non aut ita sublata sit, ut vix exstet: aut ita domita, ut quiescat; aut ita pacata ut Victoria nostra imperioque l tetur. 5. L'ordre regne a Varsovie. 6. Appius, le predecesseur de Ciceron au gouvernement de Cilicie, netait certes point un Verres, et pouvait passer pour un concussionnaire assez modere. Voici cependant, au temoignage de son successeur, l'etat ou il laissait la province: Sic Appius, quum il apcuptasas. provinciam curarit, sanguinem miserit, quidquid potuit detraxerit, uibi tradiderit enectam, npmava.fs/10/iivni eam a me libenter non videt. Ad Attic, V, 1.--Am. Thierry. Tableau, etc.. G. Boissier. Ciceron et ses amis, p. 330 et sq. Pour les Romains de la republique, les provinces n'etaient encore que des pays conquis. Il y avait trop peu de temps qu'on les avait soumises pour que le souvenir de leur defaite se fut efface. On supposait qu'elles ne l'avaient pas oublie, ce qui entrainait a se mefier d'elles; en tout cas, on s'en souvenait, et l'on se croyait toujours arme contre elles de ce terrible droit de la guerre contre lequel personne n'a reclame dans l'antiquite. Les biens du vaincu appartenant tous au vainqueur, loin de s'accuser de leur prendre ce qu'on leur enlevait, on croyait leur donner ce qu'on ne prenait pas, et peut-etre au fond du c ur s'estimait-on genereux de leur laisser quelque chose. Les provinces etaient donc regardees comme les domaines et les proprietes du...