Ce livre historique peut contenir de nombreuses coquilles et du texte manquant. Les acheteurs peuvent generalement telecharger une copie gratuite scannee du livre original (sans les coquilles) aupres de l'editeur. Non reference. Non illustre. 1804 edition. Extrait: ...au milieu des Ethiopiens ou on l'appelle Asta pus. Voila ce qu'a dit Pline depuis plusieurs siecles, et cependant les savans de tous les pays, (a) Voyages de Pytlisgore, tom. a, pag. 3i5. (4) I'iin. hiit, nat. lib. 5, cap. i0. les voyageurs, de toutes les nations n'en ont pas fait moins d efforts jusqu'a nos jours pour decouvrir les sourres du Nil; re qui justifie suffisamment combien, d'apres les connaissances acquises, il y avait ppu d'apparence de les attribuer a l'endroit ou Juba les a p'a eus.' Malgre les recherches posterieures a ces temps, les souri es du Nil sont encore aussi peu connues qu'elles l'etaient autrefois. Il parait que les Jesuites Portugais, qui s'imaginerent, il y a pres de deux siecles, en avoir fait la decouverte dans deux fontaines rondes situees dans le royaume de Goyatu en Abyssinie, ont pris pour le Nil une des deux rivieres qui se jettent dans ce Heuvp. C'est ce qu'a prouve M. d'Anville dans un excellent (a) memoire qu'on trouve parmi ceux, de l'academie des bellesleii res. (180) Et S'y partage en deux branches, etc. Pline ( )et Mela prennent l'Astaboras et l'Astapes, pour deux divisions du Nil. Str.ibon (c) les regarde comme deux autres fleuves d'Ethiopie, qui prennent leurs sources dan deux lacs differens, et qui se jettent dans le Nil. M. d'Anville, (d) les distingue de la Tfieme maniere, et dit que le Nil les recoit successivement sur sa rive droite. Il ajoute que Meroe, regardee par les Anciens comme une ile, en serait effectivement une, si ces deux fleuves, au mi (a) Memoires de l'Acad....