La Science Du Socialisme Universel; Suivie de Le Dieu de Proudhon (English, French, Paperback)

Ce livre historique peut contenir de nombreuses coquilles et du texte manquant. Les acheteurs peuvent generalement telecharger une copie gratuite scannee du livre original (sans les coquilles) aupres de l'editeur. Non reference. Non illustre. 1850 edition. Extrait: ...la conservation de l'individu, tout ce qui a trait a la satisfaction de ses besoins corporels, tout ce qui est commun a toutes les races les moins avancees, aux sauvages des deserts les plus recules, enfin tout ce qui dans les actes humains a des rapports avec les actes des animaux les plus eleves dans l'echelle zoologique.--De la il resulte que les peuples, quels qu'ils soient, en quelques lieux qu'ils habitent, ont tous un cote par lequel ils se ressemblent, c'est celui de la vie materielle; et la vie materielle, c'est la conservation.--Si les hommes se ressemblent tous par la vie materielle, c'est que dans cette vie tout est fatal, ils n'ont pas le choix, ils n'ont pas la liberte. Si les hommes different entre eux, ce n'est que dans ce qui est de la vie morale, car dans cette vie il n'y a plus rien de fatal, les hommes ont le choix, ils sont libres.--Si tous les hommes exercent leurs fonctions materielles d'apres une seule loi, la meme partout, celle de la fatalite, c'est donc que les actes materiels qui resultent de ces fonctions, sont necessaires, indispensables a tous les hommes. Si tous les hommes exercent diversement leurs facultes morales, dans la liberte, selon une multitude de lois et leur font produire une infinite d'actes, differents, c'est donc que les actes moraux ne sont pas indispensables i la conservation, mais seulement utiles dans le but du progres.--Ce qui resulte donc de la fatalite de la vie materielle, c'est le necessaire, tandis que ce qui resulte de la liberte de la vie morale, c'est...